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mars 28, 2018

COACHING ET DEPENDANCE

Dépendance : pourquoi opter pour le coaching ?

Les avantages de l’accompagnement par le coaching

Si la dépendance a pu précipiter la cellule familiale dans des problématiques fonctionnelles, relationnelles ou matérielles, cela ne nécessite pas pour autant que vous sortiez la « grosse artillerie ». En revanche, il serait temps de vous extraire des questions culpabilisantes sur le « pourquoi du comment » et d’adapter vos comportements aux situations inhérentes à la maladie.

Le coaching permet de suivre des séances à la demande. Plus concret, il est ciblé exclusivement sur les problématiques que vous souhaitez traiter. Alors que les thérapies peuvent vous sembler longues et intrusives, l’accompagnement par le coaching est plus léger. Par ailleurs, il peut en être le bon complément.

Bien qu’efficaces, les thérapies sont longues donc coûteuses. Elles peuvent très vite conduire au « rabâchage ». Le soutien par les associations de familles (dans le même cas que vous) est une véritable bouffée d’oxygène. Malheureusement, ce n’est pas toujours suffisant pour y trouver ses réponses sur le long terme.

L’accompagnement par le coaching va vous donner la possibilité de vous recentrer sur vous-même et de faire un travail en dehors de toute considération du parent malade et des conseils maladroits et inefficaces déjà prodigués.

De plus, il peut être un soutien pour les difficultés concrètes du quotidien.

Sortir d’un environnement anxiogène

Le coaching est approprié car il n’est pas stigmatisant. Il ne va pas chercher dans votre psychologie, ne demande pas de vous mettre à nu.

En outre, la vie du malade et de sa famille est jalonnée de rebondissements. Elle est régie par les internements psychiatriques ou les hospitalisations d’urgence réguliers. C’est à chaque fois l’occasion de répéter le parcours de votre proche, dévoiler l’intimité de la famille, de vous justifier sur ce que vous avez déjà tenté ou pas… Finalement cela peut vous paraître lourd et culpabilisant.

De plus, les thérapies familiales sont initiées principalement pour aider le patient et le place, là encore, au cœur de tout.

Enfin, le coaching ne prend en charge que les fonctionnements et les émotions ; Il est aussi plus rapide et plus approprié auprès des jeunes enfants dans le cas d’un accompagnement familial.

Le coaching

S’adapte à divers besoins

  • De trouver un interlocuteur qui ne vous juge ni vous conseille. Vous allez trouver vos propres réponses.
  • De revenir au centre de votre vie et de vos préoccupations et de redéfinir vos objectifs en fonction de vous-même.
  • D’éviter la contrainte d’explorer votre subconscient, de ressasser votre histoire ou même d’évoquer votre proche malade.
  • De travailler à la cohésion familiale.
  • De mieux comprendre toutes les dimensions de la maladie pour ajuster vos comportements.

Décode les situations pour

  • Lâcher prise face à certaines situations (durant la vie commune et durant l’hospitalisation, notamment lors de l’étape de mise à distance du patient vis-à-vis de ses proches, phase particulièrement difficile à vivre).
  • Travailler les émotions, croyances, blocages, peurs…
  • Comprendre et agir sur le phénomène de loyautés : travailler à déculpabiliser et faire vos choix (ex : ai-je le droit de renoncer à accompagner mon parent ? De couper définitivement les ponts ? Est-ce un choix ? Est-ce mon droit ?).
  • Intégrer la notion de choix pour les autres aussi (celui des membres de la famille. Ex : décision d’implication ou non dans la problématique). du malade. Ex : décision de soin ou non) et de temps…

Initie les changements

  • Acquérir des outils de communication pour désamorcer les tensions, éviter les quiproquos, faire passer des messages et être à l’écoute. Gérer les conflits.
  • Réapprendre la notion de « ici et maintenant » en vous accordant des moments sans culpabiliser.
  • Savoir dire non (don d’argent, autorisation de consommer, dealer, produire à la maison, aux yeux de tous). C’est spécialement difficile à faire : beaucoup de dangers sont redoutés comme la surdose, la délinquance, l’agression et violence, règlement de compte et passage à tabac, prostitution régulière ou occasionnelle.
  • Appréhender la notion de co-dépendance de fait et co-dépendance « pathologique ».
  • Etre accompagné pour les aspects organisationnels, financiers et administratifs quand il y en a besoin.

Pour conclure

Le coaching s’initie pour répondre au besoin défini par le client. Il n’y a donc pas de passage obligé vers tel ou tel aspect que vous ne voudriez pas aborder. De ce fait, il n’y a pas de séance ajoutée inutilement. Effectué en parallèle du parcours de soin de votre proche dépendant, il vous place au centre de la demande. L’approche par le coaching, en cela, peut être sécurisant.

Laissez-vous tenter !!!

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