Les bonnes attitudes à adopter en situation de harcèlement
Si vous en êtes là, épuisé, démotivé, éprouvé nerveusement c’est que cela a déjà trop duré malgré toutes les actions et comportements que vous avez mis en place pour vous en protéger.
Ne culpabilisez pas. Le harcèlement est une situation particulière pour laquelle peu d’entre nous sommes préparés ou armés. Il génère des attitudes irrationnelles en ce qui concerne le harceleur et il met en place, chez nous des comportements inappropriés parce que c’est nouveau et incompréhensible.
Vous ne savez plus trop comment cela a commencé et encore moins pourquoi cela a continué. Comment n’avez-vous pas pu stopper les événements avant qu’ils n’empirent ? Parce que cela débute par des actes anodins, au départ isolés et on n’en mesure pas tout de suite la portée.
Parfois, le harcèlement a débuté par un acte fautif ou un manquement de votre part et vous pensez que cela justifie peut être le dérapage que cela a provoqué chez l’autre.
Il a pu débuter par un premier manquement de celui qui est devenu votre harceleur mais au départ vous l’avez seulement compris comme un oubli fâcheux avant que cela ne se répète.
Des bruits, des informations ou des rumeurs sur vous vous ont mis en position délicate vis-à-vis de collègues, du service ou de clients et vous vous êtes dit que cela allait se tasser tranquillement. En vain.
Dès lors, vous allez vous poser de très bonnes questions : qu’ai-je fait ? Comment puis-je stopper ce comportement ? Et si j’en faisais plus ? Moins ? Mieux ? Et si nous prenions le temps de tout mettre à plat ? De bonnes questions qui cependant ne serviront en rien pour sortir de la situation car vous êtes L’ELU !
Seule une démarche auprès de votre employeur peut stopper cette situation.
Cette fiche pratique va vous aider à adopter la bonne attitude.
Les choses à éviter
Croire que la situation va se tasser d’elle-même
avec le temps, dès que le harceleur sera fatigué ou quand vous aurez fait ceci ou cela…
Pourquoi ? Vous avez glissé ou glissez dans un mode relationnel dysfonctionnel. Dès lors, vos comportements mutuels n’ont plus rien de rationnels et s’aliment. Un mécanisme s’est enclenché et vous n’avez plus le recul suffisant pour une attitude appropriée. La situation a ré ouvert de vieilles blessures, vous a confronté à vos fragilités et vous a fait développer des mécanismes de défenses inadéquats.
A la place, Sortez du déni et trouver les outils et l’aide appropriés pour vous extraire au plus vite et définitivement de la situation. Ouvrez-vous aux délégués du personnel, CHSCT qui sauront agir, médecin du travail ou médecin personnel. Vous pouvez également contacter l’inspection du travail qui sera de bons conseils. Parlez-en à votre supérieur ou au supérieur de celui qui vous harcèle. Ils sauront que faire et vous permettre de débuter une démarche pour stopper la situation (médiation ou juridiction).
Tenter de vous mettre à sa place ou lui chercher des circonstances atténuantes
Quelle que soit la raison qui vous y pousse. Vous devez jouer pour votre camp, donc inutile d’essayer de savoir ce que la personne a dans la tête !! Elle vous pourrit la vie et c’est la seule donnée que vous devez conserver.
Pourquoi ? Parce que cette situation n’est pas normale et quand elle arrive, le premier réflexe est de se dire qu’on est forcément à l’origine du phénomène, qu’on doit se remettre en question et chercher ce que l’on doit changer pour que l’autre se sente mieux et stoppe ses agissements. A cet exercice, vous allez y laisser votre énergie, votre assurance et votre confiance en soi (si ce n’est pas déjà le cas). Plus encore, vous ouvrez plus grand la brèche qui lui a permis à l’origine de s’engouffrer et vous allez conserver le rôle de « la victime ». Vous œuvrez avec lui contre vous même!!
Vous n’avez pas été à la hauteur dans telle ou telle circonstance et tout part de là ? Vous avez rectifié le tir ? Donc, le dossier devrait être clos.
Sa place est menacée ? Il a des soucis personnels ? De santé ? Il subit du stress ? Cela est regrettable mais aucunement une raison pour qu’il s’en prenne à vous !
A la place, essayer de conserver votre énergie pour rester concentré et performant durant votre journée de travail. Pensez à vous !!
Ne plus communiquer sur des sujets intimes ou personnels avec lui. La pluie et le beau temps suffiront.
Tenter de vous faire tout petit ou de fuir
Vous envoyez un signal fort de faiblesse (même si on sait vous et moi que ce n’est pas le cas) à votre harceleur qui pourrait se sentir conforter dans la poursuite de ses agissements.
Pourquoi ? Parce qu’il ressent que vous cherchez à vous dérober, à éviter l’affrontement et cela donne corps à ce qu’il pense pouvoir faire de vous : sa victime, son souffre- douleur, son exutoire…Parce que si vous ne venez pas à lui, c’est lui qui viendra à vous.
A la place, garder la tête haute, ne changez rien à vos habitudes ni à votre attitude tant qu’elles restent professionnelles et correctes. S’il y a, chez vous, quelque chose qui l’agace, le provoque ou remet en cause son système de valeurs c’est son problème et il doit faire avec.
Tenter la confrontation / l’affrontement
A moins que vous soyez spécialiste en communication, il y a de grandes chances pour que cela bascule dans le conflit et l’agressivité. Pour zéro résultat.
Pourquoi ? Parce que cela va vous prendre encore une fois toute votre énergie en vain. « Ambiancé » par ce climat conflictuel et injuste il se peut que vous teniez, à votre tour, des propos agressifs, désobligeants ou déplacés ou que vous sortiez définitivement de vos gongs. Ceci n’est guère professionnel et vu de l’extérieur (la hiérarchie, les autres collègues et témoins potentiels) il va s’agir d’une dispute entre collègues dans laquelle vous avez pris part.
A la place, quittez votre poste de travail, prenez l’air, une boisson (sans caféine, il va de soi !), une pause afin de vous soustraire à la situation et au stress qui commence à monter.
A votre retour le harceleur est encore sur le pied de guerre ? Demandez-lui d’en parler à un moment où il sera plus calme et en attendant, comme vous comprenez que cela lui tient à cœur d’en parler ou de régler la situation, qu’il vous envoie un email pour consigner tout cela.
Etre compassionnel ou redouter des conséquences pour le harceleur ou pour vous-même
Comme dit précédemment, ce n’est pas votre devoir de comprendre ce qui, dans sa vie professionnelle ou personnelle, le fait « dévier ». Le stopper ou signaler son comportement abusif est VITAL.
Pourquoi ? Le harcèlement est un délit pénal. Il touche en France 2 millions d’individus. S’il n’est pas dénoncé, il ne prend fin que lorsque le harcelé a démissionné, est en arrêt maladie, en dépression… voire pire encore. Pour qu’il cesse, le harceleur doit être confronté à ses agissements et aux conséquences de ceux-ci. Si personne ne l’arrête, il continuera avec vous ou un autre.
En ce qui vous concerne, vous en subissez déjà les conséquences. Personne ne viendra à votre aide si vous ne faites aucune démarche. Les collègues s’habitueront à la situation, se fatigueront et perdront, eux aussi, tout recul suffisant pour apprécier ce qui se joue exactement. Au début, certains vous plaindront, vous donneront des conseils mais finiront tous, par instinct de protection ou voyant la situation s’enliser, par vous lâcher.
Laisser la situation perdurer, c’est vous assurer d’une montée en puissance du phénomène et des conséquences désastreuses physiques et psychologiques sur vous, au travail comme dans la sphère personnelle et familiale.
Le harcèlement peut également nuire petit à petit à vos compétences professionnelles : le stress, la peur, la fatigue ou la dépression peut vous déconcentrer, vous faire perdre vos moyens ou vous faire faire les choses dans la précipitation.
Vous pouvez, dans le même temps, développer un comportement qui peut vous isoler.
Pour finir, plus vous attendrez et plus il vous faudra du temps pour rebondir et vous reconstruire suite à ce traumatisme.
Demander ou attendre de l’aide ou une écoute systématique de la part de vos collègues
Les collègues sont souvent témoins de ces scènes infernales alors, spontanément vous en parlez ensemble. Dans les premiers temps, cela fait du bien. Les collègues ont vu, certains vous soutiennent et commencent même à vous donner des conseils.
Pourquoi ? Parce que, vu de l’extérieur, il semble simple pour les collègues de s’extirper de ce genre de situation. Eux, ils auraient su que dire, quoi faire et d’ailleurs ils vous disent que dire et quoi faire. L’avez-vous fait ? Si tel n’est pas le cas, pourquoi ?, dans l’affirmative, pourquoi êtes-vous encore dans cette situation ?
Parce que les collègues ne sont pas à votre place. Ils réagissent avec leur cadre de référence, leurs valeurs…avec leur personnalité. Vous, vous êtes dans la tourmente, avec votre personnalité, vos valeurs, ce que vous n’osez pas faire ou dire, ce que vous ne savez pas faire ou dire.
A force de vous conseiller et de voir que vous ne suivez pas leurs recommandations, ils peuvent se lasser. Certains peuvent vous mettre mal à l’aise tellement ils deviennent insistants voire tyranniques pour vous pousser à agir. D’autres s’inquiètent de devenir, eux aussi, la cible de « votre vilain harceleur ». D’autres encore voudraient travailler dans des conditions de travail apaisées et sereines et vous prennent à force, comme responsable à part égale du phénomène de dégradation des conditions de travail.
De ce fait, cela peut vous isoler davantage vous donnant le sentiment que vous êtes incompris.
A la place, faites-vous aider par quelqu’un de neutre : les DP, CHSCT, le médecin, un psychologue ou un coach.
Devenir parano et penser que tous vos collègues vous en veulent, sont ligués contre vous ou se fichent de ce qui vous arrive
A un certain stade de harcèlement, l’environnement professionnel pèse et semble agressif ou indifférent. Les collègues vous ignorent, vous regardent étrangement ou vous fuient. On en déduit alors qu’ils ne vous veulent pas que du bien.
Pourquoi ? La rétroaction. Tout est devenu embrouillé pour vous ; vos relations avec les collègues ont changé. Mais parce que votre comportement lui-même a changé et ce en premier. Vous êtes moins enjoué, moins ouvert et spontané, vos propos sur votre situation tournent en boucle. Vous êtes peut-être constamment en demande de soutien (souvent inconsciemment) ou vous sur-réagissez facilement. Vous êtes devenu stressé, méfiant et vous vous excluez vous-même du groupe. Bref, globalement, vous êtes mal. Cette information rayonne, transpire. Elle va impacter et faire réagir inconsciemment les autres qui vont eux même vous renvoyez un sentiment de malaise. Le vôtre !!
A la place, n’essayer pas de leur prêter des intentions ou des sentiments. Ne cherchez pas à les positionner dans un camp ou un autre. Vous n’êtes pas dans leur tête et ils ne sont pas vos arbitres. Crevez l’abcès si besoin : allez les voir et tentez de vous intéresser de nouveau à eux, sincèrement. Vous serez surpris de voir que l’estime qu’ils vous portent n’a pas changé. Autocentré sur votre problème, c’est vous qui ne leur avez pas accordé beaucoup de temps ou d’intérêt voilà tout.
Si vous percevez un blocage ou une gêne demandez- leur si quelque chose chez vous les rend mal à l’aise. Soyez léger et subtil, n’écartez pas directement leurs arguments mais écoutez les sincèrement. Vous pouvez alors leur demander de quoi ils auraient besoin pour qu’ils se sentent à l’aise. Et faites en sorte, du mieux que vous le pouvez, de répondre à leur demande.
Ce qui serait approprié dans une situation de harcèlement
Revenir à un cadre professionnel
Stopper toute communication amicale ou intime avec votre harceleur même quand il revient vers vous détendu et amical (dans certains cas le harceleur souffle le chaud et le froid et c’est ce qui vous embrouille et rend flou votre diagnostic de harcèlement).
Si le harceleur est un collègue, cela vous sera d’autant plus facile de le faire. Vous resterez courtois mais distant.
N’ayez pas peur de lui signifier quand il dépasse de ce cadre professionnel et demandez- lui de se recentrer.
Pourquoi ? Parce qu’il vous faut prendre de la distance avec lui, sortir de son emprise et de son système de fonctionnement. Parce qu’il doit noter que vous n’êtes pas dupe de son comportement et que vous ne le cautionnez pas. Parce que quand vous le recadrer, vous le démasquer et le mettez face à son manque de professionnalisme ou à sa position abusive et c’est bien.
S’assurer que tout est formalisé par l’écrit
Dorénavant, demandez-lui de formaliser tout ce qu’il vous demande de faire (pour quand, comment, avec quels moyens, quels objectifs…) ou tout ce qu’il a à vous reprocher (quel objectif vous n’avez pas atteint, qu’est- ce que vous n’avez pas fait…).
Si le harceleur est un collègue avec lequel vous collaborez, formalisez ensemble les rôles de chacun, les délais à tenir, les dates de réunion pour faire le point. En cas de conflit, demandez- lui de formaliser par écrit ce qu’il vous reproche. Si besoin, faites intervenir votre responsable hiérarchique afin de trouver un terrain d’entente ou stopper la collaboration. Cette requête doit être écrite afin de garder une trace des démarches que vous avez entreprises pour faire connaître la situation, la régler ou la faire stopper.
Pourquoi ? Pour le recadrer. Parce que cela l’obligera à rester professionnel et factuel (il lui sera délicat de vous écrire que vous « êtes imbécile et incompétent »). De plus, vous saurez exactement ce qu’on attend de vous professionnellement et si les moyens et le temps qui vous sont alloués sont à la hauteur de ce qui vous est demandé. Si cela relève de votre fiche de poste et de vos compétences. Si c’est un collègue, cela vous permettra de déjouer sa mauvaise foi.
Et cela vous permettra, comme tout est consigné, de débuter « un dossier » contre lui, prouvant le harcèlement à votre encontre.
Lui faire remonter ses manquements
(informations, consignes, dates de réunion, dont il ne vous a pas fait part et qui vous a nui ou aurait pu vous nuire, la part de travail qu’il n’a pas fournie et de laquelle vous êtes obligé de vous acquitter pour tenir les délais).
Aller chercher par vous-même l’information dont vous avez besoin
Il vous faut posséder les informations, consignes ou données dont vous pourriez avoir besoin pour travailler (auprès de vos autres collègues, supérieurs…)
Pourquoi ? Cela vous permet de rester professionnelle, d’agir et de travailler avec les bonnes données. Le harcèlement passe également par ce que le harceleur ne fait pas ou ne dit pas : Cela permet également de vous couvrir et de pouvoir faire remonter ce manquement auprès de la hiérarchie.
Consigner tous les faits ou les situations qui pourraient constituer une preuve du harcèlement
Grâce aux échanges mails que vous avez mis en place, grâce aux témoignages que vous allez solliciter de vos collègues témoins, de clients ou d’intervenants extérieurs.
Notez et datez les incidents, recueillez des témoignages : les propos qu’il a tenu à votre encontre, les problèmes qu’il vous a créés vis-à-vis d’autres collègues, les informations ou les rumeurs qu’il véhicule à votre encontre…
Conserver vos plannings et autres documents également pour pouvoir démontrer que vous êtes systématiquement et plus que les autres sur des horaires ou tâches difficiles, que vous êtes toujours et plus que la moyenne seul pour un travail qui s’effectue normalement en binôme…
Pourquoi ? Pour qualifier le harcèlement il faut le « démontrer » (des faits, actes, documents allant dans ce sens. Ce sera alors au harceleur de les justifier et de démontrer que ce n’est pas du harcèlement). Les preuves seront tous les actes, les paroles, les mails et les comportements qui se répètent. Vous devez pouvoir les dater et les situer dans le temps. Ils doivent être objectifs et avérés. Tout du moins ils doivent concourir à démontrer que ce que vous subissez est de l’ordre du harcèlement.
Il en va de même pour les témoignages : ce sont les individus qui ont vu et assisté à ces épisodes qui doivent témoigner. Pas de « on dit » ou « je sais que ».
De même, conservez les certificats médicaux et vos ordonnances attestant de la dégradation de votre état de santé.
Conserver également, le cas échéant, tous les échanges qui montrent que vous êtes allé chercher de l’aide auprès de votre supérieur mais que rien n’a été mis en place sérieusement ou efficacement. Il est de son devoir d’apporter la solution appropriée pour stopper définitivement ce comportement (votre supérieur a une obligation de résultats quant à la protection de ses collaborateurs vis-à-vis de ce risque professionnel).
Tenter de vous relaxer et profiter de votre vie privée
Vous avez besoin de passer à autre chose, vous détendre et restaurer confiance et assurance. La possibilité de cloisonner et de vous déconnecter vous aidera beaucoup dans la gestion de ce cap difficile.
Faites du sport, profiter de vos enfants, de votre conjoint, de vos amis.
Mettez- vous à la relaxation. Prenez un peu de temps, à votre retour à la maison, pour vous isoler, respirer et décompresser.
Pourquoi ? A la maison, une fois que votre conjoint sait ce que vous subissez chaque jour au travail, il est inutile de le rabâcher et de le ressasser. Profitez, au contraire, de la chaleur de votre foyer, de l’amitié de vos amis et sortez de votre posture de victime. Avoir de vrais moments de répit va vous permettre de prendre de la distance et de vous relaxer. C’est l’occasion pour vous de reprendre la main sur qui vous êtes réellement. De vous débarrasser de cette posture de « victime » et de rester au regard de ceux qui vous aiment celui que vous êtes.
Faites-vous aider
Vos proches sont là pour vous et s’ils peuvent vous soutenir ce n’est pas leur rôle que de vous écouter, tous les jours, vous plaindre et rapporter dans le détail ce que vous avez subi et de chercher pour vous des solutions. Et les conseils qui marcheraient peut être pour eux, ne sont pas forcément pertinents.
Cela les rend triste et l’atmosphère de la maison s’en ressent.
Votre médecin traitant peut vous écouter. Il peut vous orienter vers un psychologue pour des séances régulières pendant lesquelles vous pourrez vous délester de votre fardeau et chercher des réponses.
L’acupuncture et les médecines douces peuvent vous accompagner.
Vous pouvez également vous faire accompagner par un coach. Rompu à la communication non agressive, il pourra vous apporter les outils et techniques pour contrecarrer les assauts du harceleur. Il va vous aider à restaurer votre confiance en soi et vous apprendre à vous affirmer. Il vous apportera le soutien dont vous avez besoin pour oser faire le nécessaire, ajuster votre comportement et adopter les mécanismes de protection et les outils appropriés.
Pourquoi ? Parce que le harcèlement est un facteur de stress et de véritable souffrance. Cette mauvaise expérience vous a fait développer des mécanismes de réponse ou de défense inadaptés conduisant à l’enlisement ou à l’exacerbation de la situation. Des intervenants neutres sont plus à même de vous accompagner.
Une situation de harcèlement est traumatisante et même lorsqu’elle cesse, elle continue ses ravages. De plus, il se peut que vous vous retrouviez, plus tard et dans un autre contexte, à nouveau dans une situation de harcèlement sans pour autant avoir plus d’outils pour vous en défendre.
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Bonjour Manuelle, j’apprécie vos articles, très complets, de véritable guides. Vous pensez à tout, problèmes, actions à éviter et précieux conseils et solutions, tout en douceur. Je trouve que vous écrivez dans un style clair et qui me parle. Bonne journée. Raphael